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Métapolitique - Page 3

  • Julius Evola : « L'impossibilité de l'autogouvernement démocratique »

    julius evola,démocratieRevenons au libéralisme.

    Nous avons relevé le compromis qui le domine dans sa velléité d'affirmer l' « immortel principe » de la liberté. Ce compromis se transforme d'ailleurs dans une véritable contradiction lorsque, le problème étant déplacé de l'individu à la société, un autre « immortel principe » s'affirme à côté de celui de la liberté : le principe d'égalité. Comment ne pas s'apercevoir que, s'il y a égalité, il ne peut pas y avoir liberté ? Que le nivellement des possibilités, l'identité des devoirs, la reconnaissance réciproque, rendent la liberté impossible ? Répétons-le : il n'y a de liberté vraie que dans la hiérarchie, dans la différence, dans le caractère irréductible des qualités individuelles ; il n'y a de liberté que là où le problème social est résolu de façon à favoriser, chez un petit groupe, le développement le plus complet des possibilités humaines, serait-ce au prix de la plus grande inégalité entre les hommes, conformément à l'organisation du monde classique païen ; il n'y a de liberté que là où la glorification de la Sapience et de l'héroïsme sait emporter les petites valeurs de la vie bourgeoise, économique et industrielle.

    Mais allons plus loin dans l'analyse du caractère d'absurdité intrinsèque propre à la position anti-impériale.

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  • « Face à l’assaut migratoire, le réveil de la conscience européenne ! » ─ (Institut Iliade)

    institut iliade,remplacementLes exactions de masse commises le soir du Jour de l’An dans de nombreuses villes d’Allemagne et d’Europe annoncent les risques que représente l’immigration massive pour nos peuples et notre civilisation. Le rouleau compresseur est en marche !

    Celui du Grand Remplacement de population, facilité par l’effacement de notre mémoire, de notre identité et de notre fierté d’Européens.

    L’Iliade appelle à un sursaut intellectuel et moral afin de réaffirmer nos valeurs, nos libertés et nos droits sur la terre de nos ancêtres.

    Autour d’orateurs de premier plan, ce colloque important permettra à la fois de décrypter les mécanismes démographiques et idéologiques de ce choc migratoire, mais aussi d’explorer les voies et manifestations du nécessaire réveil de la conscience européenne. Car en France comme ailleurs, il est possible de gripper la machine à broyer les peuples, d’enrayer la course à l’abîme qui menace de nous engloutir.

    institut iliade

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  • « L'identité : espoir ou menace ? » ─ (Krisis / Éléments)

    « L'identité : espoir ou menace ? », c'est le thème de la conférence animée par Alain de Benoist, directeur de la revue Krisis et éditorialiste du magazine Éléments, et Thibault Isabel, rédacteur en chef de Krisis.

    krisis

    L’actualité et la prégnance de la question identitaire en France a fait l'objet d'un numéro exceptionnel de la revue Krisis, avec des contributions d'une quinzaine de chercheurs, d'écrivains et de philosophes.

    Depuis 40 ans, l'identité est au cœur du travail de réflexion du mouvement dit de la « Nouvelle Droite ». Un travail idéologique salué par Michel Onfray, Eric Zemmour ou plus récemment… Jean-Christophe Cambadélis, le premier secrétaire du parti socialiste a avoué : « aujourd'hui l'idéologie dominante n'est pas celle de la gauche mais celle – les spécialistes me comprendront – de la Nouvelle Droite, celle de l'identité avant l'égalité. »

    Une analyse sommaire qui mérite des explications !


  • Julius Evola : « États et partis. “L'apoliteia” »

    julius evola,dissolution,état,socialLe domaine politico-social est celui où, par suite de l'action des processus généraux de dissolution, apparaît aujourd'hui d'une façon particulièrement manifeste l'absence de toute structure possédant, du fait de son rattachement à des significations supérieures, la marque d'une véritable légitimité.

    Étant donné cet état de fait, qu'il faut reconnaître ouvertement, le type d'homme qui nous intéresse ne peut pas ne pas régler son comportement sur des principes totalement différents de ceux qui seraient les siens dans la vie en société si le milieu était autre.

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  • Libre Journal des enjeux actuels : “René Guénon et la crise du monde moderne”

    Arnaud Guyot-Jeannin recevait Françoise Bonardel, professeur émérite à l'Université Paris-Sorbonne, David Bisson, historien, Pierre-Marie Sigaud, directeur de collection aux éditions l'Harmattan et Jean Borella, professeur agrégé de l'université, sur le thème : « René Guénon et la crise du monde moderne ».

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  • Valérien Cantelmo : « L’ineffable beauté de notre combat »

    1468145230.jpgCela n’est plus un secret pour personne, en tout cas plus pour le nombre non-négligeable d’esprits dont la conscience s’est éveillée face à l’affligeant et pitoyable spectacle de la réalité quotidienne : le processus de déréliction complète de nos sociétés occidentales a désormais atteint un niveau qu’il était difficile d’envisager il y a quelques années encore. A tel point que l’atmosphère de fin de cycle annoncée par les apôtres du Kali Yuga se fait de plus en plus prégnante. Pourtant, l’effondrement final du système capitaliste prédit par Marx, l’apocalypse palingénésique qui devra inaugurer pour l’Europe une nouvelle ère de grandeur et de rayonnement par ce que Bernanos a pu appeler « la restauration universelle de l’esprit, par la plus grande révolution de tous les temps. » (Carrefour, 14 septembre 1945) ont été annoncés depuis des décennies. Si d’une certaine manière, on peut se réjouir, ou du moins faire preuve d’une indifférence stoïque vis-à-vis de chaque nouvelle étape d’involution civilisationnelle (reprenant ainsi la position d’Evola dans Chevaucher le Tigre qui démontre l’inanité d’une opposition ─ matérielle ─ à la divine loi cyclique de la décadence), jamais nous ne devons oublier la signification première de notre combat, nous qui, de par notre position de recul, avons une responsabilité historique face aux événements à venir. En effet, le probable effondrement prochain (par « prochain » nous entendons dans les décennies à venir) du monde tel que nous le connaissons et la période indéterminée de chaos qui doit suivre ne pourra aboutir à quelque chose de positif qu’à condition que quelques « îlots spirituels » soient préservés et servent de terreau à une reconstruction saine et pure de la civilisation européenne. Ainsi, ni l’accélération du processus de dégénérescence de nos sociétés, ni les conséquences que ce processus peut avoir sur le nombre de personnes rejoignant la « dissidence » (gardant à l’esprit l’éternelle dialectique qualité/quantité) ne doivent nous faire perdre de vue l’essentiel : le sens profond de notre combat et l’intransigeance avec laquelle nous devons le mener.

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  • Les idées à l'endroit n°7 : le clivage gauche/droite

    Selon un sondage CEVIPOF de 2014 ,73% des français récuseraient aujourd’hui la pertinence des notions de droite et de gauche. De nombreux intellectuels et des hommes politiques affirment régulièrement que ce clivage, qui structurait autrefois la vie politique, doit être dépassé pour laisser la place aux « vrais débats ». Face à l’immigration, aux enjeux écologiques et identitaires, à la contestation de la famille traditionnelle ou à la financiarisation de l’économie mondiale, devons-nous désormais penser la politique au delà de la droite et de la gauche ?

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    Alain de Besnoit et Olivier François reçoivent  :

    - Marco Tarchi, politologue italien, professeur à l’université de Florence et chef de file de la « Nouvelle Droite » transalpine.

    - Vincent Coussedière, professeur agrégé de philosophie, auteur d’Éloge du populisme ( Elya éditions)

    - Paul-Marie Couteaux, essayiste, ancien député européen.

    - Christophe Geffroy, journaliste, directeur de la revue La Nef.