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Métapolitique

  • Méridien Zéro #400 : « Julius Evola. Un phare au milieu des ruines »

    Pour la 400e de la Méridienne (400 !!!), MZ vous propose une émission sur un penseur 100 fois cité (même par Emmanuel Macron !), 100 fois incompris : Julius Evola. Pour nous guider dans cette pensée foisonnante, Wilsdrof assisté de Pythie et d’Arnaud Naudin reçoit Jean-Marc Vivenza, lui même auteur prolifique et passionnant.

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    (Cliquez sur la photo pour accéder au podcast)

  • Giovanni Monastra : « De l'imitation de la nature à la “subversion de la nature” »

    78.jpgLa seconde forme de rapport homme-femme est typique de la modernité, sans pour autant lui appartenir exclusivement. On relève un changement radical de paradigme, non seulement dans la vie quotidienne de la quasi-totalité de la population, mais aussi du point de vue théorique explicite, qui se retrouve formalisé dans la culture dominante. En l'espèce, la nature, dans son ensemble, est conçue comme un grand mécanisme, une lande désacralisée quasiment hostile, une réalité à part, indépendante de la dimension intérieure des êtres humains (dualisme radical). Métaphoriquement, la nature n'est plus la mère à respecter, qui nous transmet ses connaissances, mais la marâtre méchante, qui cache ce qu'elle sait et qu'il faut donc violenter pour lui extorquer tous ses secrets. concrètement, la nature est comparée à une somme de pièces manipulables et recomposables à volonté, sans un ordre global a priori qui la gouvernerait et la régulerait dans sa totalité et dans ses parties. C'est un monde sujet au « hasard » et à la « nécessité », qui est ce qu'il est, mais qui aurait pu être autrement, et même tout à fait différent. aucune logique supérieure, aucune harmonie intrinsèque, aucune « intelligence » ne le soutient ni ne le guide. Pour finir, il est réduit au rang de résultat d'une combinaison d'atomes et de molécules (on trouve les premiers signes d'une telle façon de penser chez un philosophe de l'Antiquité, mais très « moderne » sous certains aspects : Démocrite).

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  • Think Tank EurHope : « Une autre Europe est impérative »

    Agir contre l’homologation technocratique et la dictature financière.

    Les terrains du combat pour la cause des peuples et pour l'authentique idéal européen.
    Le Projet Lansquenet procède jour après jour, constituant un réseau en évolution permanente dans les domaines politiques, métapolitiques, économiques et sociales...

    Son promoteur, Gabriele Adinolfi, en a parlé le samedi 17 juin à Paris accompagné de plusieurs autres acteurs français, italiens, grecs, flamands, espagnols et hongrois autour du thème :

    « Une avant-garde en Europe, ses résultats et ses objectifs »

    UneAutreEuropeEstImperative-Paris-17juin2017-v2-1 - Copie.jpg

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  • « Européens : Transmettre ou disparaître » ─ (Institut Iliade)

    Colloque annuel de l’Institut Iliade sur le thème :
    « Européens : transmettre ou disparaître »

    institut iliade

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  • Julius Evola : « Y a-t-il une “idée” de l'Occident ? »

    julius evolaLe problème qui dépend de la question : y a-t-il une « idée » de l'Occident ?, est en vérité fondamental pour toute notre civilisation. Il serait présomptueux de chercher à l'approfondir dans le cadre d'un bref article. C'est pourquoi nous ne définirons ici que quelques points de référence essentiels, à travers l'analyse d'un ouvrage qui porte précisément ce titre (Hat der Westen eine Idee ?), et dont l'auteur est Walter Heinrich.

    Heinrich est l'un des principaux écrivains traditionalistes vivants ; on lui doit plusieurs ouvrages de sociologie, d'histoire des religions et de critique de notre époque. Ses idées sont très proches de celles de l'école du philosophe autrichien Othmar Spann, défenseur bien connu d'une conception organique et anti-individualiste, qu'il a formulée dans de multiples domaines. Dans son bref mais dense essai, Heinrich touche au vif du sujet, en dehors des lieux communs et des formules faciles de la plupart de ceux qui abordent ce problème.

    Heinrich pose ainsi les termes du problème : le monde, non encore bien uni, qui s'oppose à l'« Orient » sur le plan non forces politiques, ne peut espérer en un succès qu'à la condition de s'appuyer sur une idée propre, vraie et spécifique, de se montrer capable d'assumer sérieusement cette idée ─ et non simplement de discourir sur elle ─ et de la suivre fidèlement dans l'effort pour la réaliser.

    julius evola, occident, Walter Heinrich,

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  • Robert Steuckers : « Nationalisme européen, le combat de demain ! »

    robert steuckers,nationalisme

    robert steuckers,nationalismeLe 4 mars 2017, la section strasbourgeoise de la Dissidence Française recevait Robert Steuckers, figure de la scène métapolitique européenne, originaire de Bruxelles. Il a notamment participé à la rédaction de la revue du GRECE « Nouvelle école » en 1981.

    Robert Steuckers a exploré en profondeur les thèmes de la géopolitique notamment sous l'impulsion du Général Heinrich Jordis, Baron von Lohausen, puis de la Révolution Conservatrice allemande et autrichienne, ainsi que ses retombées dans les pays européens.

    Dans le domaine de la géopolitique, son souci majeur est de dégager les peuples d'Eurasie de la tutelle américaine et de voir advenir une Europe unie, débarrassée des inimitiés du passé. Cette option l'a rapproché du philosophe russe Alexandre Douguine. Ses auteurs de prédilection sont Ernst Jünger, Georges Orwell, Arthur Koestler, Fiodor Dostoпevski, Camille Lemonnier, David Herbert Lawrence.

    Il a participé au Congrès de Vienne sur le centième anniversaire de la naissance du philosophe traditionaliste italien Julius Evola (1898-1974) et au Symposium de Zurich, un an après, célébrant le vingt-cinquième anniversaire de sa disparition.


    robert steuckers,nationalisme

  • Entretien avec David Bisson : « René Guénon entre Tradition et Révolution »

    hqdefault.jpgDocteur en sciences politiques et historien des idées, David Bisson est chercheur associé à l’Institut du Droit Public et de la Science Politique de l’Université Rennes 1 et chargé de cours à l’Institut Catholique de Rennes.

    Spécialiste des courants ésotériques occidentaux, il cherche à analyser les liens qui se tissent entre le champ politique et le champ religieux, et travaille en particulier sur la notion de « métapolitique ». Après avoir réalisé une thèse de doctorat sur René Guénon et le concept de Tradition, il consacre une étude passionnante sur sa pensée politique.

    R/ Comment avez-vous découvert l’œuvre de René Guénon ?

    J’ai commencé à travailler sur la pensée de Julius Evola dans le cadre d’une maîtrise en science politique. Ce qui m’a naturellement amené à lire Guénon, tout de même quelques années après, le temps de la « décantation » ésotéro-politique pourrait-on dire. Et j’ai alors découvert – ce qui m’a troublé au départ – que l’œuvre de Guénon n’était pas moins politique que celle de son « disciple » italien, même s’il s’agissait d’une autre politique, d’une haute politique. Ce que j’ai finalement tenté de cerner comme une politique de l’esprit.

    david bisson,rené guénon

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