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Front de la Contre-Subversion - Page 15

  • « Être Français(e) » – (Fondation Polémia)

    Face aux négateurs de l’identité française qui monopolisent les tribunes et les micros, nos compatriotes demandent du sens. « Français » et djihadiste ? Pas possible ! « Français » bleu à petits pois verts ? Pas davantage ! Un Français, c’est une longue histoire de chair, d’esprit, de sentiments.

    « Être Français »

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    La femme française, européenne, a une histoire et un destin à défendre contre vents et marées! Être Française, c’est à la fois une chance, un honneur, le sentiment quotidien d’une immense liberté.

    « Être Française »

     

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    Source : Polémia

  • Low intensity operations. Subversion, insurgency & peacekeeping (Frank Kitson)

    kitson_sm.jpg« Ce livre aux tirages confidentiels n'a jamais été traduit dans notre langue et nous n'en connaissons que cinq exemplaires dans les bibliothèques universitaires françaises(voir le catalogue SUDOC). De fait, la diffusion à un large public de ce texte pourrait à elle seule faire basculer des équilibres géopolitiques entiers. » (Gouverner par le chaos)

     

    11 septembre 2001, attentat de la rue des Rosiers, profanations de Carpentras, affaire Mohamed Merah, affaire Breivik, tuerie d’Aurora, massacre de Raçak (voir B. I. n°138), génocide de Srebrenica (et d’autres), Kosovo, Libye, Syrie, Iran, et probablement tuerie de Newton, comme l’a sous-entendu l’ami Gendre… Toutes histoires qui ont en commun de puer l’intox au vu des rapports officiels comparés aux incohérences qu’elles manifestent. Des histoires banales de la guerre de quatrième génération, dite G4G, celle de l’information. Mais comme l’écrit l’auteur du présent livre, de bonnes communications permettent d’exercer une influence sur les événements. En d’autres termes, selon l’École de Guerre Économique, la guerre est désormais cognitive, elle vise à contrôler la réalité construite par l’individu pour garantir la suprématie de l’intrigant.

    Le général Frank Kitson reste à ce titre l’une des figures de proue de la guerre cognitive, bien qu’aucun de ses ouvrages n’ait été traduit en français à ce jour. Sa doctrine découle de son expérience d'écrasement des révoltes anti-coloniales autochtones dans les pays occupés, qu'il consacra dans son manuel Low intensity operations. Subversion, insurgency & peace-keeping (1971), que l'on pourrait rebaptiser « Petit manuel pratique de la révolution colorée ». Le contexte géopolitique dans lequel écrit Kitson s’illustre par trois facteurs qu’il énonce : 1) l’Angleterre défendra ses intérêts nationaux, 2) elle ne pourra pas se contenter de l’isolationnisme. Depuis des siècles elle a dû agir pour survivre, ce qui reste valide aujourd’hui, 3) les pays doivent se battre pour défendre leurs intérêts, dans des limites qui excèdent leurs frontières géographiques. Si l’Angleterre s’allie aux États-Unis, leur alliance devra combattre où leurs intérêts seront menacés. Comment faire pour empêcher le pays-cible de se révolter (subversion & insurrection) ? Kitson propose le peace-keeping (maintien de la paix), appellation euphémisée de la contre-subversion. (1) Et à la lecture de son exposé, il est plus qu’aisé de comprendre que ce livre soit quasi introuvable.

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  • Simone Weil : « Toutes les fidélités, tous les attachements sont à conserver »

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    Pour la patrie, les notions d'enracinement, de milieu vital, suffisent à cet effet. Elles n'ont pas besoin d'être établies par des preuves, car depuis quelques années elles sont vérifiées expérimentalement. Comme il y a des milieux de culture pour certains animaux microscopiques, des terrains indispensables pour certaines plantes, de même il y a une certaine partie de l'âme en chacun et certaines manières de penser et d'agir circulant des uns aux autres qui ne peuvent exister que dans le milieu national et disparaissent quand un pays est détruit [...].

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  • Alain de Benoist : L'illusion libérale

     

    10888943_700461793402619_2964215640094717740_n.jpg   Il faut d’abord définir le libéralisme. Et c’est là une chose compliquée car on ne peut pas rattacher le libéralisme à un auteur (même si la tradition française le rapproche de Montesquieu et John Locke). Le marxisme vient de Marx, mais le libéralisme est le fruit d’une longue construction théorique. De même il ne faut pas différencier entre le libéralisme philosophique, économique, politique ou culturel, car cela rend difficile de le définir, et Jean-Claude Michéa rappelle bien que les deux formes de libéralisme sont inséparables. Nous devons aller au-delà.

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  • Les Idées à l'Endroit n°03 : Le progrès

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    L'idéologie du progrès, nouvelle religion des temps modernes ?

    Vaste sujet qui tourmente nos sociétés depuis des dizaines d'années et en particulier depuis le XVIIIe siècle avec les Lumières...

    C'est donc du progrès que traiteront Alain de Benoist et ses invités au cours du nouveau numéro des Idées à l'endroit, l'émission des idées politiques et philosophiques de TV Libertés.

    Pour évoquer ce thème, trois invités : Frédéric Rouvillois, Olivier Rey et Gaultier Bes !


  • Julius Evola : « Sur l'essence et la fonction de l'esprit aristocratique »

    1698162942.jpg1. Il existe un esprit aristocratique et il en existe diverses manifestations, liées au temps et à l'espace. Ces manifestations ont un caractère contingent, connaissent une genèse, un développement, et éventuellement une altération et un déclin. Cependant, l'esprit aristocratique est antérieur et supérieur à chacune d'elles. Il correspond à un degrés de la réalité, à une fonction primordiale dans le tout. Il a donc une nature suprahistorique et, nous dirions même, métaphysique. Il existe donc indépendamment de la naissance et du déclin des aristocraties historiques, qui peuvent l'incarner plus ou moins parfaitement dans telle période déterminée et dans le cycle d'une civilisation donnée et d'une race donnée.
       L'idée aristocratique, comme l'idée du Regnum ou celle d'ordre ou de tradition, trouve en elle-même sa consécration et sa justification. L'intériorité des hommes commence déjà à s'obscurcir lorsqu'ils en arrivent à supposer que c'est l'"histoire" qui crée un Regnum, une aristocratie ou une tradition, ou que ceux-ci tirent leur justification et leur valeur de facteurs contingents, de l'utilité, de la domination matérielle ou de la suggestion. L'histoire et, en général, tout ce qui est simplement humain peut seulement fournir la dynamis, la force profonde qui permet à un Regnum de se former et à l'esprit aristocratique de se manifester. Mais, dans son essence la plus profonde, cette manifestation est enveloppée d'un mystère, et ce mystère n'existe que là où les voies du haut rejoignent les voies du bas, là où les sommets de l'ascèse humaine s'unissent à des sources d'influences suprahumaines. Ces points de jonction sont les moments fatidiques de l'histoire. C'est là que le symbole devient réalité et la réalité devient symbole, et que ce qui est esprit se fait puissance et ce qui est puissance se fait esprit.

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  • L'institut Tavistock, un laboratoire d'ingénierie sociale

    Méridien Zéro vous propose de lever un voile sur ce qui constitue le principal laboratoire de manipulation et formatage des opinions publiques occidentales, et ce depuis quasiment un siècle.

    Pour nous en donner un aperçu, les invités sont Thibault Philipe et Maurice Gendre.

    A la barre Gérard Vaudan.

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    podcast

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    Conférence de Maurice Gendre et Thibault Philippe au théâtre de la Main d’or le 4 avril 2015 :

    Partie 1 :

    Partie 2 :

     

    Les deux intervenants vous proposent ci-dessous une très riche biblio et sitographie afin que vous puissiez compléter la présentation.

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