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Front de la Contre-Subversion - Page 13

  • « Ni Lampedusa, ni Bruxelles : être Européen ! » – (Institut Iliade)

    L’Institut Iliade pour la longue mémoire européenne fête sa première année d’existence et lance une campagne de communication sur le thème :

    « Ni Lampedusa, ni Bruxelles : être Européen ! »

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  • Julius Evola : Volonté d'aller de l'avant

    julius_evola_by_anton_giulio_bragaglia.pngQuiconque sait exactement en quoi consiste l'esprit occidental et veut tout mettre en œuvre pour le préserver tel quel, vivant, sans mélanges et sans altérations voit aujourd'hui s'avancer de pair avec le matérialisme, un danger nouveau et plus subtil : le danger spiritualiste.

    Jamais au cours de son histoire, il n'a été aussi difficile qu'aujourd'hui pour l'Occident de s'engager dans une direction qui soit vraiment conforme à sa tradition : et ceci en raison d'un singulier dilemme dans lequel il s'est lui-même enfermé.

    Que voyons-nous, aujourd'hui, en Occident ? D'une part, un monde d'affirmation, d'individualité et de réalisation sous le signe d'une vision objective (la science) et d'une action précise (la technique) mais ce monde est privé de lumière : sa loi est celle de la fièvre et de l'agitation ; sa limite, c'est la matière, la voix de la matière, la pensée abstraite appliquée à la matière. Et, d'autre part, on voit renaître un besoin de quelque chose de supérieur, d'un « autre chose » mais un tel besoin ignore aussi bien la loi de l'affirmation que la valeur de l'individualité et de la réalité et débouche sur les formes équivoques et mystiques soit d'un universalisme abstrait, soit d'une religiosité dévoyée. De telle sorte que là où l'Occident affirme le principe actif, guerrier et réaliste qui caractérise la tradition qui est la sienne, tout esprit en est absent, tandis que là où se manifestent des velléités spirituelles, le principe même de l'Occident fait totalement défaut, laissant la place à quelque chose qui lui est diamétralement opposé : c'est à ce moment-là que descendent les brouillards du néo-spiritualisme dont l'évasionnisme esthético-orientalisant, moralisant et humanitaro-bouddhiste est, telle une nouvelle barbarie exotique, l'exacte antithèse de l'esprit viril occidental.

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  • Julius Evola : « L'histoire secrète de la subversion »

    3567060822.jpgSuivant un ancien adage, Diabolus Deus inversus, le mal est moins l'effet d'une négation que l'inversion et la perversion d'un ordre supérieur. Cette vérité vaut aussi dans le domaine historique. L'histoire des erreurs auxquelles est due la crise de la civilisation moderne contemporaine attend encore d'être écrite et c'est justement par rapport à celle-ci que l'adage que nous venons de citer pourrait se révéler profondément vrai.

    Que les « immortels principes » de la démocratie, l'égalité, la « liberté », le rationalisme, l'internationalisme et le laïcisme maçonnique, le messianisme marxiste technico-économique aient été les principes poisons du monde moderne, c'est là ce dont personne ne doute plus. Mais rares sont ceux qui soupçonnent la véritable origine de ces erreurs. On suppose généralement qu'il s'agit là des produits d'une pensée philosophique sui generis, forgés et diffusés par des intellectuels révolutionnaires. Cela n'est vrai qu'en apparence; quant à leur genèse intérieure, elle est bien différente : ces erreurs sont le résultat du processus très précis d'involution spirituelle, de profanation, de « dégradation » et, enfin, d'inversion.

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  • Laurent Ozon : Localisme, définition et applications

    11220946_10205915158185333_5838702998734430329_n.jpgLe localisme, tel que compris et défendu par Laurent Ozon, consiste à donner à chaque peuple la possibilité de subvenir à la part la plus importante possible de ses besoins par ses propres moyens. C’est une volonté de favoriser les circuits économiques courts, et ainsi d’assurer une autosubsistance relative capable de permettre aux populations de garder la maîtrise de leur destin.

    Le localisme est la pierre angulaire de la décolonisation économique, condition indispensable de la souveraineté politique : c'est le moyen idéal pour favoriser l’embauche locale, accompagner des objectifs de qualité écologique, de protection sanitaire, de réhabilitation de la vie démocratique, de protection et de rééquilibrage social, d’inversion concertée des flux migratoires et de pacification rapide des relations internationale.

    Un entretien constructif et ancré dans le réel pour anticiper les déstabilisations sociales et économiques à venir.


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  • Julius Evola : Valeur éthique de l'autarcie

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       A notre époque, il arrive souvent que la force des circonstances et des « causes positives », ces dernières étant tenues en si grand compte dans de nombreux milieux, finissent par provoquer des situations qui, en apparence, ne tirent leur sens que d'elles-mêmes, mais qui, pour un regard plus aigu, sont susceptibles d'incarner aussi une valeur plus haute et de s'élever ainsi au-dessus de l'ordre de la pure contingence.

    C'est de manière tout à fait intentionnelle que nous avons utilisé le mot « susceptibles », car nous voulions indiquer par là le caractère de « possibilité », et non de nécessité, propre à cette signification supérieure. Les cas sont nombreux où le destin nous offre quelque chose, sans que nous nous en apercevions et sans que nous sachions en profiter. Et dans d'autres cas tout aussi nombreux, qu'il s'agisse de l'existence individuelle ou de la vie collective, la force des choses agit comme cet éleveur qui, tout en ayant une véritable affection pour un nouveau cheval, était contraint de le fouetter, mais s'arrêtant toujours devant le dernier obstacle, qu'il aurait pu aisément franchir, avec un petit effort, s'il avait compris. A une époque où le regard est hypnotiquement fixé sur le plan matériel, celui de la « réalité positive », des cas douloureux de ce genre se vérifient très fréquemment : on reçoit des « coups » de tous les côtés, sans réussir à comprendre et à suivre la juste orientation. Les « leçons de l'expérience » servent à accumuler laborieusement des faits, à les relier les uns aux autres de diverses façons en fonction de nos buts pratiques ; ils ne servent pas à nous faire saisir un sens, ils ne servent pas à nous réveiller et à nous mener, réveillés, vers la bonne direction.

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  • Archives de Julius Evola en français (1971)

    Rushes inédites de Julius Evola en français répondant aux questions de Dominique de Roux dans le cadre des enregistrements des Archives du XXe siècle.

    Quelque temps avant sa mort, vieilli, paralysé mais toujours alerte, le philosophe italien y évoque entre autres les thèmes de l'essence de ses ouvrages, sa période artistique dadaïste, ses rapports avec René Guénon, ainsi qu'avec les régimes politiques de l'époqueet bien d'autres explorations métaphysiques.

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