Sur le plan spirituel, la doctrine de la race devrait avoir au moins, parmi tant d'autres, deux résultats d'une grande importance : d'abord, en provoquant un retour aux origines, elle devrait éclairer les significations les plus profondes de traditions et de symboles, obscurcis au cours des millénaires et ne se survivant que fragmentés et sous forme de coutumes ou de fêtes conventionnelles. Ensuite, la doctrine de la race devrait ressensibiliser et revivifier la conception du monde et de la nature, limiter celle du rationalisme, du profane, du scientisme et de la phénoménologie qui, depuis des siècles, séduit l'homme occidental ─ car tout est étroitement lié. Quant au sens vivant et spirituel des choses, des phénomènes, nous en trouverons les meilleures références dans les conceptions solaires et héroïques qui sont propres aux plus antiques traditions aryennes.



Qu'est-ce qui permit aux indo-européens de réaliser la synthèse entre liberté et discipline, entre Polis et Imperium ? L'axialité, la virilité spirituelle. Ce qui est marqué par le sceptre, la hache, l'épée, la lance, le faisceau, qui, pour nos ancêtres était synonyme de membre masculin. « Fascination » indique littéralement la séduction émise par la virilité.
La voie européenne. Entretien de fond avec Gabriele Adinolfi sur la perspective d'une Europe alternative face au nouvel ordre mondial. Nous conseillons vivement cet entretien de fond qui fera nécessairement et sainement polémique. Comme toujours avec Gabriele Adinolfi, s'exprime ici une pensée juste, droite et toujours en avant-garde. A la fois futuriste et intemporelle. A la fois futuriste et reliée à ce qui ne passe pas : la Tradition. 